Je n’ai jamais vécu un bras des discours occultes. Mon de chaque jour, c’est celui d’un entrepreneur expéditif, intelligible, exigeant avec moi-même et avec les autres. Les résolutions doivent pouvoir être prises rapidement, les objectifs atteints, les chiffres compris. Pourtant, ces derniers mois, j’ai commencé à concevoir une forme d’usure. Trop de pression, à l'infini de distractions, vivement d’incertitudes. Et dans ce ressenti de tension latent, une passerelle m’a subsisté envoyé un soir, presque comme par exemple une blague, par un collègue d’enfance : “Tu devrais tenter la voyance en ligne, on ne sait jamais. ” Ma première réaction ? Rire. Ma second ? Cliquer. Simple avidité, vraisemblablement. Et cela vient là que j’ai revêtu un pied dans environnement dont j’ignorais tout. Sur l’écran, une interface à vous, directe, entrainant multiples exemples de consultations : par audiotel, téléphone, messagerie, ou même vidéoconférence. À ma majeure surprise, le ton n’était pas mystique ni mystificateur. On me parlait de cartomancie, d’éclairage, d’intuition, de recentrage de personnalité. Pas de importante prêtresse ni de cristaux. Une touche actuel, presque chevronnée. J’ai intrépide d'expérimenter. Un natif bricolage par téléphone, sans position, mais en posant une interrogation simple, concrète : “Est-ce que ce symbole que je prépare va faire du chemin ? ” Ce que j’ai reçu en renouveau n’était pas un contact, mais quelques propos. Loin d’être incertain, l’échange était structuré, presque coachant.

Je fais étagère de cette génération de dirigeants qui ont grandi avec le digital. Tout est mesurable, tout est traçable, tout se planifie. En tant sur le plan que caberlot d’entreprise, j’ai toujours accordé une place centrale aux transmises, aux tableaux de borne, aux indicateurs de performance. C’est ce qu’on nous apprend dans les écoles de maquignonnage : guider, perfectionner, rationaliser. Et ça marche… jusqu’à un sûr échelon. Jusqu’au moment où l’humain, l’incertitude, le hasard, l’émotion proviennent mettre le grain de sable dans la mécanique correctement huilée. C’est dans un de ces sales périodes de évasif, on utilise un peu plus d’un an, que j’ai eu recours à la voyance en ligne pour première fois. Par obligeance au départ, mais encore par désespoir, je pense. J’étais en pleine successivement de fusion voyance olivier avec une nouvelle composition, un détour stratégique majeur. Tous les messagers semblaient positifs : bon timing, alignement économique, synergies opportunes. Pourtant, je ressentais un malaise. Un truc que je n’arrivais pas à expliquer. C’est là que j’ai eu cette idée saugrenue : consulter un voyant.